Franceza, întrebare adresată de saraaah212001, 8 ani în urmă

AJUTOR !!!!! Am de răspuns la Franceză la niste întrebări pe baza unui text .
ÎNTREBĂRILE SUNT URMĂTOARELE :
Le point de vue.
1) Qui parle dans ce texte ?
2) Sommes-nous en presence d'un observateur exterieur à la famille Davranche ?
3) Relevez les marques du narrateur ( Joseph , le neveu de Jules Davranche )
4) A qui renvoie le pronom " nous " ?
Les personnages :
1) Retrouvez dans le texte les elements du portrait de monsieur Davranche et de son epouse.
2) Degagez l'ironie du texte ( le portrait des bourgeois endimanches et la lettre du frere d'Amerique ).
3) Quel est le grand reve de cette famille modeste du Havre ?
4) En quoi consiste la mauvaise conduite de Jules ?
5) De quelle facon compte-t-il reparer le tort qu'il a fait à sa famille ?
6) Quels espoirs les Davranche placent-ils dans le retour de Jules ? Est-ce par affection ou par interet qu'ils souhaitent son retour ?
TEXTUL :
Il y aurait dans toute chose , à en croire Maupassant , << un aspect qui n'a ete vu et dit par personne >>. C'est bien cet aspect qui interesse le conteur dans la peinture des milieux bourgeois. Son observation va au-dela de la multitude des incident, qui composent la trame d'une vie , pour devoiler la verite cachee - la blessure intime , le reve brise , la part d'echec qui accompagne les reussites ephemeres. Ma famille, originaire du Havre n'etait pas riche. On s'en tirait , voila tout . Le pere travaillait, rentrait tard du bureau et ne gagnait pas grand-chose. J'avais deux soeurs. Ma mere souffrait beaucoup de la gene ou nous vivions et elle trouvait souvent des paroles tres aigres pour son mari , des reproches voiles et perfides. On economisait sur tout ; on n'acceptait jamais un dîner , pour n'avoir pas à le rendre ; on achetait les provisions au rabais , les fonds de boutique. Mais chaque dimanche , nous allions faire notre tour de jetee en grande tenue .Mon pere en , redingote , en grand chapeau , en gants offrait le bras a ma mere, pavoisee comme un naivre un jour de fete. En chaque dimanche , en voyant entrer les grands naivres qui revenaient de pays inconnus et lointains , mon pere pronancait invariablement les memes paroles : << Hein ! si Jules etait là-dedans , quelle surprise! >> Mon oncle Jules , le frere de mon pere , etait le seul espoir de la famille , apres en avoir ete la terreur . J'avais etendu parler de lui depuis mon enfance. Je savais tous les details de son existence jusqu'au jour de son depart pour l'Amerique , bien qu'on ne parlât qu'à voix basse de cette periode de sa vie. Il avait eu , paraît-il une mauvaise conduite c'est-à-dire qu'il avait mange quelque argent ce qui est bien le plus grand des crimes pour les familles pauvres . Enfin l'oncle Jules avait notablement diminue l'heritage sur lequel comptait mon pere ; apres avoir d'ailleurs mange sa part jusqu'au dernier sou. On l'avait embarque pour l'Amerique , comme ou faisait alors , sur un navire marchand allant du Havre à New York. Une fois là-bas mon oncle Jules s'etablit marchand de je ne sais quoi , et il ecrivit bientot qu'il gagnait un peu d'argent et qu'il esperait pouvoir dedommager mon pere du tort qu'il lui avait fait. Cette lettre causa dans la famille une emotion profonde. Jules , qui ne valait pas comme on dit les quatre fers d'un chien, devint tout à coup un honnete homme , un garcon de coeur , un vrai Davranche , integre comme tous les Davranche. Un capitaine nous apprit en outre qu'il avait loue une grande boutique et qu'il faisait un commerce important . Une seconde lettre , deux ans plus tard disait : << Mon cher Philippe , je t'ecris pour que tu ne t'inquietes pas de ma sante , qui est bonne. Les affaires aussi vont bien . Je pars demain pour un long voyage dans l'Amerique du Sud. Je serai peut-etre plusieurs annees sans te donner de mes nouvelles. Si je ne t'ecris pas , ne sois pas inquiet. Je reviendrai au Havre , une fois fortune faite . J'espere que ce ne sera pas long , et nous vivirons heureux ensemble ..... >>. Cette lettre etait devenue l'evangile de la famille. On la lisait à tout propos , on la montrait à tout le monde . Pendant dix ans en effet , l'oncle Jules ne donna plus de nouvelles ; mais l'espoir de mon pere grandissait a mesure que le temps marchait ; et ma mere aussi disait souvent : << Quand ce bon Jules sera là , notre situation changera. En voila un que a su se tirer d'affaire ! >>.

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Răspuns de nume1ndisponibil
1

1)L'orateur dans le texte est Joseph, le neveu de Jules.

2)Nous ne sommes pas devant un observateur extérieur à la famille Davranche car Joseph fait partie de la famille.

4)Le pronom «nous» fait référence à la famille de Joseph.

5) Monsieur et madame Devranche sont des gens modestes originaires du Havre.

Am răspuns doar la câteva întrebări, m am chinuit destul de mult și la ele dar nici măcar nu știu dacă sunt 100% corecte.


saraaah212001: multumesc
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