Dau coroana!
1. Proposez la suite du texte.
Răspunsuri la întrebare
La suite du text : "Mademoiselle Perle" de Guy de Maupassant
La fin du texte est :
"Chantal reprit : «Maintenant, vous devez choisir une reine.»
Ma suite est :
Je regarde autour de moi pour choisir la reine et par politesse je me suis dis que ma reine doit être Chantal.
Alors je me suis levé de ma chaise et je me suis approché d'elle doucement.
Tout le monde nous a regardés avec étonnement et puis j'ai rougi encore plus.
Traducere
Continuarea textului: "Mademoiselle Pearl" de Guy Maupassant
Sfârșitul textului este :
"Chantal a continuat: "Acum trebuie să alegeți o regină."
Continuarea mea este:
Mă uit în jurul meu pentru a alege regina și din politețe mi-am zis că regina mea trebuie să fie Chantal.
M-am ridicat deci de pe scaunul meu și m-am apropiat de ea cu blândețe.
Toată lumea ne-a privit cu uimire și atunci eu m-am înroșit și mai mult.
Explicație:
Le texte : "Mademoiselle Perle"
"Mademoiselle Perle" de Guy de Maupassant.
"Je vais tous les ans faire les Rois chez mon vieil ami Chantal. Mon père, dont il était le plus intime camarade, m'y conduisait quand j'étais enfant. J'ai continué, et je continuerai sans doute tant que je vivrai, et tant qu'il y aura un Chantal en ce monde.
Quant à moi, je vais dîner chez eux le 15 août et le jour des Rois. Cela fait partie de mes devoirs comme la communion de Pâques pour les catholiques.
Le 15 août, on invite quelques amis, mais aux Rois, je suis le seul convive étranger.
Donc, cette année, comme les autres années, j'ai été dîner chez les Chantal pour fêter l'Épiphanie.
On se mit à table comme toujours, et le dîner s'acheva sans qu'on eût dit rien à retenir.
Au dessert, on apporta le gâteau des Rois. Or, chaque année, M. Chantal était roi. Était-ce l'effet d'un hasard continu ou d'une convention familiale, je n'en sais rien, mais il trouvait infailliblement la fève dans sa part de pâtisserie, et il proclamait reine Mme Chantal. Aussi, fus-je stupéfait en sentant dans une bouchée de brioche quelque chose de très dur qui faillit me casser une dent.
J'ôtai doucement cet objet de ma bouche et j'aperçus une petite poupée de porcelaine, pas plus grosse qu'un haricot. La surprise me fit dire : «Ah !» On me regarda, et Chantal s'écria en battant des mains : «C'est Gaston. C'est Gaston. Vive le roi ! vive le roi !»
Tout le monde reprit en chœur : «Vive le roi !» Et je rougis jusqu'aux oreilles, comme on rougit souvent, sans raison, dans les situations un peu sottes. Je demeurais les yeux baissés, tenant entre deux doigts ce grain de faïence, m'efforçant de rire et ne sachant que faire ni que dire, lorsque Chantal reprit : «Maintenant, il faut choisir une reine.»